Si on passe du temps à sermonner ou à crier sur son enfant, cela fait perdre du temps et de l’énergie à tout le monde, pour des résultats plutôt peu probants.
En revanche, si on « ignore » les actions négatives en ne leur accordant que peu de temps et d’importance, on rend l’opposition de l’enfant inefficace, il constatera que ça ne lui sert a rien, et préfèrera attirer votre attention par des actions positives (que vous valoriserez). Par exemple :
« Ah tu ne mets pas tes chaussures pour sortir ? Dommage, on ne peut pas aller au parc alors ».
Il est fort probable que votre enfant change d’avis et mette toutes les chances de son côté pour aller au parc !